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Aux Etats-Unis
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Dimanche 30 novembre. El Paso. Martine Nous avons quitté Flagstaff en début d’après midi le 29 novembre. Beaucoup de neige encore sur la moitié du chemin, puis elle a disparu peu à peu pendant que nous descendions dans les plaines des Apaches. Magnifique coucher de soleil. (Je vous remets du ketchup ?) Nouvelle attente (c’est le métier qui rentre) à Phoenix, d’où la neige a disparu, mais pas le froid. Et re-poirot jusqu’à 11 h du soir, où l’on reprend un bus presque vide. Le « régulier était plein, mais en quelques secondes, un supplémentaire a été mis en place ; l’efficacité de l’Amérique est perceptible à chaque instant, elle nous étonnera toujours. Et cela sans tension… Tout ça nous amène à El Paso à 7 h du matin le 30 novembre, et c’est le départ pour le Mexique. Le Mexique !!! Quel rêve, quelles images, quelle histoire !!! En tous cas, dans ce sens là au moins, et avec un passeport français, la frontière se franchit aisément, pas besoin de se tremper dans le Rio Grande Après le Mexique et l’Amérique centrale, retour aux US Jeudi 22 janvier, San Antonio, Martine Hôtel Continental, 7 $ 50 avec douche individuelle : pas mal. 8 h, nous arrivons à Laredo bien ensommeillés, réveillés par le douanier. Et nous voilà en quête d’un moyen de passer du côté américain : y a- t-il un bus ? Renseignements pris, il nous faudrait attendre plusieurs heures… La nourriture emportée du Mexique achevée (la douane américaine est intraitable sur ce point), c’est à pied que nous traversons, comme dans un vulgaire film sur les chicanos… Là, on retrouve le terminal Greyhound, et on expédie nos sacs à dos à New Orleans. {Sans doute une partie du chargements, je ne sais plus… Quoi qu’il en soit, notre abonnement Greyhound est maintenant périmé, et il faut trouver un moyen de transport.}. Puis la cérémonie de la Poste, où nous envoyons nos précieux paquets de films et des cartes écrites à la va-vite (à nos italiens, et à nos copains de Belize. {Qui étaient- ils donc encore, ceux-là ?}. Puis un café bien mérité (bien qu’américain !). Ça nous arrache une pensée émue pour nos capuccinos délicieux de Mexico ! Et nous nous plantons au bord de la route, pouce levé et arborant un écriteau cocardier supposé faciliter le stop. {L’ère Bush n’était pas passée
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