Retour à l’hôtel en flânant, j’achète tout de même de menus souvenirs. Quelques toasts, une dernière citronnade, puis taxi jusqu’à la gare en
compagnie d’un des couples de français qui prend le même train. Repérage sans faute de nos couchettes (tout ça est bien rôdé).
La nuit venue, nous retrouvons le pernicieux parfum (que Gérard aime assez) de la poussière de charbon qui colle à la peau, imbibe les narines,
et s’incruste dans le vêtements. {Ce parfum, bien entendu, nous ramène aux trains de notre enfance, les locos à charbon n’ayant disparu en
France qu’à la fin des années 50}.
Jeudi 24 juin, vers Lahore, Pakistan.